Alexander the Great

A l e x a n d r e L e G r a n d 14 n’ose exprimer un avis, parce qu’ils ignorent celui d’Alexandre sur la question et n’ont pas d’opinion sans la sienne... Enfin, le général Parménion a l’audace d’exprimer son avis après qu’Alexandre le lui a expressément demande) ALEXANDRE : Quel est votre avis, Parménion ? (Parménion s’avance, en face d’Alexandre, et parla avec orgueil) : PARMENION : Vous connaissez d’avance mon avis. Vous devriez relâcher les prisonniers à Damas contre une rançon. Ainsi, vous recevrez d’énormes sommes d’argent et vous en économiserez d’autres. Car leur surveillance occupe de nombreux soldats. Vous pouvez dès à présent recevoir cent quatre-vingt millions de drachmes, contre la libération d’une vieille femme et de deux filles dont l’existence même est un obstacle à la progression de l’armée... Il est possible de créer un royaume riche et prospère par la négociation plutôt que par la guerre. Quel est l’intérêt de tous ces territoires que vous avez conquis, entre la Phénicie et l’Euphrate ? Un vaste désert que personne avant vous n’a pu dominer... Sire, retournez en Macédoine au lieu de marcher sur l’Inde. (Alexandre manifeste des signes de colère, provoqués par Ce ton et Ces propos de Parménion) ALEXANDRE : Oui... Moi aussi je préférerais l’argent à la gloire militaire... si j’étais Parménion!

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