A l e x a n d r e L e G r a n d 29 (Un groupe de généraux tente d’éloigner Cleitus d’Alexandre, mais il leur échappe et continue de le rallier): CLEITUS : Vous avez tué mon ami Parménion, lui qui vous a offert tant de victoires et a sacrifié deux de ses fils pour vous défendre... Et vous, pour leur rendre hommage, vous tuez le troisième frère ! (Alexandre cherche son poignard ; qu’il avait posé sur la table et qu’un des gardiens a dérobé et caché derrière son dos, afin qu’il ne s’en serve pas pour tuer Cleitus) Cleitus se dirige vers la porte... Alexandre saisit la lance d’un gardien et court vers lui quand il arrive. Il pointe la lance sur la poitrine de Cleitus, qui recula sous le coup de la lance, heurte le montant de la porte, pousse un cri à douleur, puis s’écroula, la lance enfoncée en pleine poitrine) (Silence) (Rasséréné, Alexandre se tourne vers ses généraux, étonné de les voir bouches bées de peur.) (Silence) (Ensuite, Alexandre se hâte d’arracher la lance, dégoulinant de sang, de la dépouille de Cleitus... et il la pointe sur sa propre gorge. Les généraux se précipitent pour le retenir… Mais il se dirige vers le fond de la tente, la lance pointée sur sa poitrine. Ils le retiennent une seconde fois... et lui arrachent la lance. Puis Alexandre s’effondre, épuisé...) (Alexandre pleure) ALEXANDRE : Ah... ma gouvernante Lanice... J’ai tué votre frère... Vos enfants trouvèrent la
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