Power Struggles and Trade in the Gulf (1620-1820)

359 faibles, souvent moins de quelques centaines de roupies. 208 Se fondant sur cette dernière information en provenance de Bouchehr, le gouvernement de Bombay recommanda de ne plus envoyer aucune marchandise sur les marchés perses et afghans. 209 La vente de marchandises sur le marché de Bouchehr en 1811 fut satisfaisante, à l’exception de la vente de lainages : de grandes quantités en avaient été achetées par des individus privés, qui vendaient à des prix bien plus bas que le coût initial de la Compagnie et une grande quantité restait donc invendue. 210 Au mois d’août 1812, le résident à Bouchehr dressa deux états des prix courants des marchandises qui étaient vendables sur le marché de Bouchehr et des marchandises qui pouvaient y être achetées (voir tableaux 5.16 et 5.17). Tableau 5.16 : Prix des marchandises sur le marché de Bouchehr, 1812211 (la forme originale du registre a été conservée) Pour achat sur le marché de Bouchehr Mahmoudis – ¼ Amandes p. Maund de Tabriz 5,2 Roses séchées 6 Soie perse p. Muster 302,2 Laine de Carminia [Kerman] p. Muster 84 Cuivre perse 36 Safran 206 Raisins 6 N.B. Un Maund de Tabriz équivaut à 7 ½ livres anglaises et Une Roupie de Bombay de 8 ¼Mahmoudis - lorsque de nouvelles informations s’offriront, la déclaration ci-dessus sera étendue. 208 Ibid., Journal no. 38/1803, pp. 1294-6. 209 Ibid., Journal no. 42/1804, pp. 1498-1515. 210 Ibid., Journal no. 83/1811, pp. 422-4. 211 Ibid., p. 2362. CHAPITRE CINQ : BOUCHEHR DE LA TOURMENTE À LA PAIX (1769-1820)

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