Tale of A City - Volume II

CHRONIQUE D’UNE VILLE 80 Des nouvelles véridiques viennent des Alliés Et de Berlin viennent des nouvelles fausses et infondées. De vraies nouvelles sur les Alliés, qui Ont avancé pour combattre au champ de bataille. Avec toutes leurs inventions et leurs guerriers Pour combattre, en défense, leurs ennemis. Leur objectif est Paris, sa reprise rapide ils désirent Des griffes des monstres démoniaques Par la grâce de Dieu ils la libèreront Des griffes des monstres, impropres à gouverner Paris. Alors on dirait, Ô, « Hirr », pars, hors de notre ville, Nous, les lions, tu ne peux nous provoquer. Sors, humilié, et sois maudit, Nous sommes vigilants pour défendre nos droits, la dette que tu nous dois, Recule et retourne comme tu étais, pauvre et avili, Ô, Hitler, Ô, « Hirr » les hitlériens se lamenteront, Combien de Nazis avez-vous perdus, honte à vous, Vous avez abandonné le combat et fui le champ de bataille ? Churchill, tel un lion, vint se venger et vous retourne, Même vos amis commencent à se moquer. Ô, combien de gens misérables comme vous, Pensant que vous devrez rester maîtres finalement. Mais lorsque vous avez échoué, ils ont échoué aussi, Dieu le sait. Tous vous resterez dans la douleur à jamais. Et Mussolini ? Qu’advint-il de lui, peut-on s’interroger ? Et ce qu’il a perdu en mer et sur terre. Le signor a perdu la raison, puis ses pensées Se sont mêlées, il reste atterré et dément. Patience, patience, Ô, fils d’Italiens, vous serez bientôt témoins De la chute de votre nation, assurément. En réponse, un autre jeune poète, Cheikh Saqr, fils de Cheikh Sultan bin Saqr al-Qasimi, dit :

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