Tale of A City - Volume II

CHRONIQUE D’UNE VILLE 82 Et qui vous empêchera de rencontrer le bienaimé (vos plus chers désirs) Ô, Allemagne, puissiez vous rester glorieuse, Tant que le soleil se lève chaque jour et les hommes prient, Combien de rois avez-vous tués et emprisonnés, Laissant leurs salles de conseil vides. Je conclus mon poème comme je l’ai commencé en disant Des événements de notre temps nous sont révélés cette année. S’échauffant davantage, Abdelaziz bin Saif al-Madfa’ répondit par ce poème intitulé « Deux mouches dont la destruction fut voulue par Dieu » dans lequel il dit : Les guerres passées montrent bien Que la défaite est du côté des Allemands. Les guerres passées à Paris montrent de même, Et les batailles d’aujourd’hui leur sont semblables. Ne soyez pas leurrés par l’avancée présente, vous le verrez, Leur retraite verra les lourdes pertes, pauvres hères. Ils rentreront ahuris et sans guide, Ces monstres fous et sans cervelle. Ils rentreront vaincus dans leur demeure, Berlin, terre des infidèles. Ils regretteront leurs pertes Leurs inventions et la richesse accumulée La guerre les a mis dans un isolement destructeur Ils se lamentent et pleurent amèrement, affamés. La Grande Puissance a rassemblé ses forces, En d’innombrables milliers et millions. Ils sont en route vers Berlin pour écraser les Allemands Et pour les effacer de la surface de la terre. Hitler le « Hirr » (le chat) et le Signor, son vassal, Sont comme deux maudits chiens sans queue. Mussolini que Dieu écrase son énergie

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