CHRONIQUE D’UNE VILLE 92 42- Hamad bin Abdul Rahman al-Mudf’a 43- Hasan bin Abdul Rahman al-Mudf’a (sceau) 44- Nadhowji Bhimji 45- Ahmed bin Abdul Rahman bin Hadeed 46- Ali bin Rashid al-Nakhi 47- Buti bin Ali Bal’abid 48- Abdulla bin Ali al-Mazr’uo.”7 J’atteste au nom des susnommés qu’Abdullah bin Faris est un ami de Sa Majesté le roi GeorgeVI et est le plus grand ennemi de quiconque est son ennemi.QueDieu en soit témoin. Hassan bin Abderrahman al-Midf’a. L’agent politique répondit d’une manière qui ne convenait pas au statut de Cheikh Sultan bin Saqr al-Qasimi dans sa lettre datée du 12 octobre 1940 : N° C/772-28/10 Le 12 octobre 1940 À Cheikh Sultan bin Saqr, Gouverneur de Sharjah, Après les compliments d’usage, J’ai bien reçu votre lettre datée du 20ème jour de Jamad al Thani 1359 ainsi que le document joint concernant votre secrétaire Abdullah bin Faris. J’ai informé le résident politique de son contenu et je vous écris donc la présente avec son consentement. Votre lettre laisse apparaître que vous en savez bien moins sur ce qui se passe dans votre ville que moi qui habite à Bahreïn. Bien que je ne comprenne pas complètement les raisons pour lesquelles vous souhaitez tant garder les services d’un homme d’une loyauté aussi douteuse, je ne cherche par à me quereller avec vous à son sujet. Je souhaite m’assurer que vous êtes pleinement conscient de la responsabilité qui repose sur vous en le gardant, et je dois vous dire que moi-même je prendrai les mesures adéquates pour m’assurer que je suis au courant de tout ce qu’il fait. Si Abdullah bin Faris souhaite prouver qu’il a changé d’opinion et qu’il est maintenant un défenseur énergique et loyal du gouvernement de Sa 7 Ibid., pp.21−22.
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