72 dans plusieurs pays, ce qui est une activité illégale. Cela la rend moralement inapte selon de nombreuses lois.” Pendant le procès, alors que Marie Petit était à la Maison du Refuge, Anne Cataro, la veuve de Fabre, envoya une lettre datée du 28 mars 1711, au ministère, se plaignant de la mauvaise conduite de l'ambassadeur Ferriol et de Michel. Elle déclara également "qu'en tant que veuve qui a énormément bénéficié de la succession de mon défunt mari, je ne peux pas être la seule héritière de ses biens." Finalement, Marie Petit fut libérée en 1713, mais son affaire était loin d'être terminée. Le 28 mars 1714, le chancelier Pontchartain écrivit à monsieur Arnoul, intendant à Marseille, pour lui signaler que l'affaire de Marie Petit avait été
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