Turgut

Tu r g u t 45 L’AMIRAL BARBEROUSSE C’est la flotte ottomane avec les deux-cent-dix navires. Le Sultan Soulaymān le Magnifique me l’a confiée pour aider la France, notre alliée, contre les Espagnols… En rentrant, j’ai décidé de te libérer de cette prison ! (Il tapote l’épaule de Turgut avec joie) Comment vous avez passé cette longue durée attaché sur rames ? TURGUT Lolita m’avait vu attaché à la rame. Je crois que vous le connaissez. Celui qui était si célèbre pour avoir défendu la Malte contre les Ottomans. Il m’avait dit avec ironie : « Monsieur Turgut, patience ! C’est la guerre ! Elle a toujours été comme cela ! » Je lui ai répondu : « Ne t’en fais pas ! C’est le destin, le retour éternel ! » (Il regarde l’Amiral Barberousse) Vous savez ce que cela veut dire ? Que Lolita fut, un jour, condamné à ramer sur mon navire ! L’AMIRAL BARBEROUSSE (s’apercevant de l’arrivée de ses soldats) L’argent est là !! Barberousse prend le sac et vérifie l’argent, le donne ensuite à l’un des membres du Sénat de la ville. Sortent les membres du Sénat.

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